29 février 2016
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Barbara, « Survivre. Résister. Créer. », Espaces réflexifs, situés, diffractés et enchevêtrés, ID : 10.58079/tjmg
J’ai commencé cette série avec l’idée en tête qu’après un viol, exister est en soi une résistance. Le viol n’est pas seulement sa définition juridique, c’est aussi la réduction d’un être humain à objet. Etre violé.e, c’est avoir été utilisé.e par quelqu’un.e d’autre comme une chose. Le viol éclabousse tout : la sphère psycho-cognitive, l’être-au-monde, l’être-à-soi, le rapport au corps et à la sexualité en général. Et, si, politiquement, je me refuse à dire que le viol est le pire des crimes...