The Myth of Mary Mink : Representation of Black Women in Toronto in the Nineteenth Century

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2016

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Ontario History ; vol. 108 no. 1 (2016)

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Guylaine Petrin, « The Myth of Mary Mink : Representation of Black Women in Toronto in the Nineteenth Century », Ontario History, ID : 10.7202/1050613ar


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The tale of Mary Mink, the Black millionaire’s daughter sold into Southern slavery by her white husband and rescued, with great difficulty by her father, is one of the best-known tales of nineteenth-century Toronto. It appeared in contemporary newspapers, has been endlessly retold in scholarly and popular historical publications, and provided some of the subject matter for a made-for-TV movie—even though it is a complete hoax. The origins of the “Minnie” Mink legend are explored in order to understand the context that allowed this blatant falsehood to flourish, and suggest some reasons for its continued acceptance.

L’histoire de Mary Mink – fille d’un millionnaire afro-canadien, vendue en esclavage dans le Sud des États-Unis par son mari blanc, et finalement sauvée par son père – est une des histoires les plus connues du XIXe siècle à Toronto. Même s’il s’agit d’un canular, cette histoire fait la une des journaux contemporains, elle est racontée maintes fois dans des articles de presse ainsi que des publications académiques et elle est source d’inspiration pour un film. Nous proposons d’explorer les origines de la légende de « Minnie » Mink afin de comprendre le contexte qui a permis à cette tromperie de se répandre, et nous avançons quelques raisons pour lesquelles elle continue à se propager.

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