The Church and the War : Reflection on the relationship between the law of armed conflict, religion and homeland glorified : Study on the war by example or the necessary fatality L'Eglise et la Guerre : Réflexion sur le rapport entre le droit du conflit armé, la religion et la patrie glorifiée : Etude sur la guerre par l'exemple ou la fatalité nécessaire En Fr

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16 janvier 2009

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Guerre

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Claude Cebula, « L'Eglise et la Guerre : Réflexion sur le rapport entre le droit du conflit armé, la religion et la patrie glorifiée : Etude sur la guerre par l'exemple ou la fatalité nécessaire », HAL-SHS : droit et gestion, ID : 10670/1.02qggf


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Résumé En Fr

If the law of conflict dictates human conduct, both in their individual and community relationships, it is necessary to contain it. The law of war and peace, dictated by the Church Fathers, and then by the jurisconsults, remains the privileged instrument of this control. However, in front of a potential danger and the revenge speech after the defeat, preparing for war aims to ensure a strong national cohesion... [...]

Si la loi du conflit dicte la conduite des hommes, tant dans leurs relations individualisées qu'au regard des communautés, elle emporte la nécessité de la contenir. Le droit de la guerre et de la paix, suscité par les Pères de l'Église, puis repris par les jurisconsultes, tout en s'en émancipant, reste l'instrument privilégié de cette maîtrise. Néanmoins, devant un danger potentiel, par le discours de revanche devant la défaite, préparer la guerre vise à assurer une cohésion nationale forte. Les institutions républicaines, qui se veulent indépendantes de toutes Églises, et l'Église Catholique elle-même, notamment par son clergé français, y travailleront, fût-ce par des voies au départ opposées. A cet égard, la Troisième République reste le cadre politique privilégié. La France, terre d'exemplarité dit-on et écrit-on, devient le terreau de la guerre sublimée. De cette analyse s'évincent cependant deux problématiques. Existe-t-il une constante au sein de l'Église de Rome relativement au droit de la guerre, une guerre qu'il faut gérer« au moins pire» possible, à l'instar de ce prescrivent les conventions internationales? La guerre n'est-elle qu'un moyen de survivre face à la peur de la mort, autrement dit ne serait-elle qu'une fatalité nécessaire ?

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