L'arithmétique morale stendhalienne et ses limites

Fiche du document

Date

2021

Discipline
Périmètre
Langue
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.48611/isbn.978-2-406-11902-9.p.0333

Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess



Citer ce document

Christophe Reffait, « L'arithmétique morale stendhalienne et ses limites », HAL-SHS : littérature, ID : 10.48611/isbn.978-2-406-11902-9.p.0333


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

L’article revient d’abord sur la formation, chez le jeune Stendhal, d’une science morale fondée sur les Idéologues et les sensualistes. Constatant l’aporie critique qui consisterait à rechercher chez le romancier de l’âge mûr des manifestations de cette formation intellectuelle, l’article imagine plutôt le commentaire par Helvétius, Tracy ou Bentham des deux pages célèbres dans lesquelles Julien se rend pour la première fois dans la chambre de Mme de Rênal (Le Rouge et le Noir, I, chap. XV). On y voit comment le calcul utilitariste du bonheur est doublement déjoué par l’idée du « devoir » et par l’imprévu.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en