Le territoire des Arvernes : limites de cité, tropismes et centralité

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29 mai 2003

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Frédéric Trément et al., « Le territoire des Arvernes : limites de cité, tropismes et centralité », HAL-SHS : archéologie, ID : 10670/1.3ev4v5


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Résumé Fr

En conclusion, on retiendra que les limites du diocèse de Clermont ont de bonnes chances de pérenniser les limites préromaines de la cité des Arvernes. On insistera sur la cohérence des informations fournies par les textes anciens, l’archéologie et la linguistique historique. Ces différentes sources permettent de restituer un vaste territoire, relativement centralisé, au sein duquel les zones de peuplement dense sont, logiquement, celles qui connaissent le plus fort dynamisme économique. Un espace qui, pour être précisément délimité, n’en est pas moins perméable aux échanges économiques et culturels, générateurs de diversité. L’hypothèse d’un tropisme méridional de la cité arverne, suggérée par l’analyse linguistique de J.-P. Chambon et par un faisceau d’indices historiques, mériterait d’être étayée, dans l’avenir, par un argumentaire de nature archéologique.

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