De la notion d'altération(s) dans les poèmes d'amour de Paul Eluard : Les Mains libres, Le Temps déborde, Corps mémorable, Le Phénix

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1 juillet 2010

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Charlotte Ollier, « De la notion d'altération(s) dans les poèmes d'amour de Paul Eluard : Les Mains libres, Le Temps déborde, Corps mémorable, Le Phénix », DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.5sp0v9


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L'image d'une poésie éluardienne dépourvue de toute nuance est par trop répandue. À la simple évocation du nom, nous sommes surpris de constater et ce, de manière récurrente, l'empressement de nos interlocuteurs à citer le même poème, à qualifier Paul Éluard de poète résistant ou de poète de l'amour. Pourtant, sa poésie est sujette à de nombreuses modulations. Le principe d'altération permet d'envisager tous les aspects d'une poétique qui se renouvelle sans cesse et qui cède une part essentielle aux altérités : affinités affectives et affinités artistiques. Ce mémoire propose donc une lecture qui s'attache à la perception du mouvement poétique, et qui tente de rendre, bien modestement, toute la complexité d'une œuvre méconnue malgré le bruit qui l'entoure. Pour ce faire, nous avons choisi quatre recueils de poèmes amoureux : Les Mains libres, Le Temps déborde, Corps mémorable et Le Phénix.

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