Une pensée cosmopolite du cinéma en temps de crise : Niemandsland (No Man’s Land, 1931) de Victor Trivas, film pacifiste, polyglotte et anticolonialiste

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1 novembre 2015

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Matthias Steinle, « Une pensée cosmopolite du cinéma en temps de crise : Niemandsland (No Man’s Land, 1931) de Victor Trivas, film pacifiste, polyglotte et anticolonialiste », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10670/1.6e6vtb


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En 1931, sort le film Niemandsland (« La zone de la mort »), réalisé par Victor Trivas, classique méconnu que nous fait découvrir Matthias STEINLE. Niemandsland, pacifiste dans son propos, international dans sa distribution, témoigne dans son inspiration comme dans sa facture de la vitalité des avant-gardes artistiques internationales. Ont ainsi collaboré au film le musicien Hanns Eisler, disciple de Schönberg qui a composé pour Brecht, Louis Douglas dans le rôle de Jo Smile, danseur et chorégraphe afroaméricain découvert à Berlin dans la Revue Nègre avec Josephine Baker, Ernst Busch, vedette des planches et du cinéma, le Français Georges Péclet, le Britannique Hugh Steffens, ainsi que le Russe Vladimir Sokoloff, comédien issu de la troupe de Max Reinhardt. Un générique propre à attiser l'ire des nazis qui tentèrent d'ailleurs d'en perturber la première.

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