Myths, IT & culture. Knowledge Management utopia within organisations Mythes-TIC et cultures, l’utopie de la gestion de la connaissance dans les organisations En Fr

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30 décembre 2014

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Aurélie Dudézert et al., « Mythes-TIC et cultures, l’utopie de la gestion de la connaissance dans les organisations », HAL-SHS : droit et gestion, ID : 10.3166/r2ie.6.89-97


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Résumé En Fr

The myths’ power plays a major tacit role within organisations, and eventually acts against global management widespread theoretical “culture free” models. Same phenomenon affects the Technology Centred for the design of successful adapted formulas for firms. As an example, this article proposes an interpretation of the SECI’s model of the Japanese Nonaka & Takeushi from the Chinese yin yang symbol. The weight of tacit dimension in the Japanese society echoes in the SECI. A way to learn the cultural bias consists in taking into account the“strategic thinking”, myths and iconic figures that inspire as a mirror, and “rules”, societies. As a conclusion, the article focusses on the Myth of Astérix from the GallicVillage to stress strengths and weaknesses of KM within French firms.

Le pouvoir des mythes joue un rôle majeur au sein des organisations dans la diffusion des modes managériales qui s’appuient sur l’offre technologique en information et communication. Mais, force est de constater que ce « modèle centré technologies » génère nombre d’effets pervers. En étudiant les particularités des modes de création de connaissances dans la société japonaise, cet article se focalise sur la culture comme une force motrice pour la conception de formules adaptées avec succès par les entreprises. À titre d’exemple, cet article présente les quatre phases du modèle S.E.C.I., conceptualisé par Ikujiro Takeushi, comme une déclinaison des quatre phases du symbole du yin et du yang. Derrière ce modèle, il est possible d’identifier l’influence d’une cosmologie extrême-orientale telle qu’on la retrouve dans le I Ching ou Livre du changement. En conclusion, l’article met l’accent sur le mythe d’Astérix en soulignant les points forts et les faiblesses du Knowledge Management dans les entreprises françaises.

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