« Are friends acidic ? »: differentiating humiferous Neolithic occupation horizons (Northern France, Belgium, Luxembourg) « Are friends acidic ? » : Différencier les horizons d’occupation néolithiques humifères (Nord de la France, Belgique, Luxembourg) En Fr

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29 novembre 2023

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Kai Fechner et al., « « Are friends acidic ? » : Différencier les horizons d’occupation néolithiques humifères (Nord de la France, Belgique, Luxembourg) », HAL-SHS : archéologie, ID : 10.34692/wd5z-pw68


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Résumé En Fr

In the field, finding well-dated and well-conserved Neolithic surface horizons is rare and implies a consciousness of its importance and morphology, by the archaeologists and geoarchaeologists. Further steps then contribute to the recognition of different main types of surfaces. In the study area, over numerous years, they have involved the use of field characteristics and tests, the differentiation of soil forming factors and preservation conditions in calcareous and acid soils, the choice of adapted analytical methods according to these (as mineral chemistry, micromorphology and malacology) and finally, to take into account the soil conditions encountered in the Neolithic. These evolve strongly in one of the treated sub-regions, changing from calcareous to acidic during Early and Middle Holocene. Results of these approaches concern in situ humanactivities recorded by these surfaces, for a dozen cases in Northern/ Central France and Belgium/ Luxembourg and may encourage more research on this topic.

Sur le terrain, la découverte d’horizons de surface néolithiques bien datés et bien conservés est rare et implique une prise de conscience de son importance et de sa morphologie, par les archéologues et les géoarchéologues. D’autres étapes contribuent ensuite à la reconnaissance des différents grands types de surfaces. Dans la zone d’étude, depuis de nombreuses années, elles ont consisté à utiliser les caractéristiques et les tests de terrain, à différencier les facteurs pédogénétiques et les conditions de conservation des sols calcaires et acides, à choisir des méthodes analytiques adaptées en fonction de ceux-ci (comme la chimie minérale, la micromorphologie et la malacologie) et enfin, à prendre en compte les conditions pédologiques rencontrées au Néolithique. Celles-ci évoluent fortement dans l’une des sous-régions traitées, passant du calcaire à l’acide au cours de l’Holocène ancien et moyen. Les résultats de ces approches concernent les activités humaines in situ enregistrées par ces surfaces, pour une douzaine de cas dans le Nord/Centre de la France et en Belgique/Luxembourg, et peuvent encourager des recherches plus approfondies sur ce sujet.

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