28 octobre 2021
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Antoine Lacaille, « Le graffiti mural : un élément fragile à (re)considérer dans le cadre de l’archéologie préventive à partir d’exemples lorrains », HAL-SHS : archéologie, ID : 10.34692/2ce9-8655
Du fait de leur fragilité, de leurs modestes dimensions, mais également de leur présence sur des supports souvent recouverts, les graffitis figurent parmi les structures les plus rarement détectés au cours de travaux d’aménagements. C’est pourquoi cet article vise à traiter de la reconnaissance des graffitis écrits ou figurés sur des constructions, dans le cadre spécifique de l’archéologie du bâti en contexte préventif. Plusieurs objectifs sont visés : favoriser la détection et l’identification de ces traces par le choix d’un protocole adapté, proposer une méthode de relevé et d’analyse et présenter les apports possibles dans l’étude de la construction. Cette présentation s’appuie notamment sur les signalements et études de quelques graffitis antérieurs à 1950 réalisés par l’Inrap en Lorraine, au cours des dernières années.