Rapport du groupe de travail de l’alliance Athéna sur l’internationalisation

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2012

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Bruno Sire et al., « Rapport du groupe de travail de l’alliance Athéna sur l’internationalisation », HAL-SHS : sciences de l'information, de la communication et des bibliothèques, ID : 10670/1.e0tc27


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Nul ne peut contester que l’internationalisation représente un facteur concourant à desavancées scientifiques décisives. La diffusion et la circulation des idées et des savoirs, lamobilité des chercheurs d’un pays ou d’un continent à l’autre, la constitution de réseauxinterpersonnels, de sociétés professionnelles et savantes composées de chercheursd’horizons différents, constituent depuis longtemps des dynamiques solides, à la fois entermes de production spécialisée de connaissances et de réflexion interdisciplinaire.L’internationalisation de l’enseignement supérieur et de la recherche ne sauraittoutefois être considérée comme un objectif en soi qui serait synonyme d’ « excellence »scientifique. Il existe aussi des recherches de très haut niveau qui sont menées sur unplan régional ou national sans ouverture internationale, à condition toutefois qu’elless’efforcent d’atteindre une montée en généralité par la comparaison ou lesproblématiques déployées. L’internationalisation doit donc être appréciée plutôt commeun moyen permettant d’atteindre une certaine forme d’ « excellence » scientifique etcomme un vecteur de rayonnement de celle‐ci dans le vaste champ des connaissancesscientifiques.Après avoir dressé un bilan de la situation actuelle grâce à une analyse d’indicateursrendant compte de l’intensité de l’internationalisation de l’enseignement supérieur et dela recherche française en SHS dans une perspective comparative, le groupe de travail de l'alliance Athéna a sélectionné un certain nombre de problèmes et de thématiques dont l’étude détaillée est fournie dansles deuxième et troisième parties du rapport. Une analyse des recommandations surl’internationalisation des SHS françaises telles qu’elles ont été formulées dans plusieursrapports précédents (rapport‐Supiot, rapport‐Godelier, rapport‐Maurel, etc.) a aussi étémenée. Elle a permis de mesurer les progrès accomplis et les difficultés persistantes,ainsi que l’émergence de nouvelles questions prioritaires liées aux transformationsayant affecté les dispositifs de recherche français et international de l’enseignementsupérieur et de la recherche.Ont participé à ce rapport : Bruno SIRE, Alain PEYRAUBE, Olivier BOUIN, Pascal MARTY et Michael WERNER

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