La parution en 2018 de La violence à l’œuvre de S. Ferrières-Pestureau, tombe à pic pour souligner la façon dont l’art s’est saisi à différentes époques de ce qui excède les diverses déclinaisons du corps humain qui en traduisent la violence. L’auteure s’attache ici à rapprocher les évènements majeurs de l’histoire occidentale des transformations picturales qui en furent soit les interprétations, soit les provocations, en attestant des nouvelles perceptions de la violence qui surgissent des corps.
The 2018 publication of S. Ferrières-Pestureau’s La violence à l’œuvre (Violence at work) provides a spot-on illustration of the way that art at different times periods has taken up what exceeds the various declensions of the human body that translates its violence. The author of this article relates major events of western history to the pictorial representations that either interpreted or provoked them, noting new perceptions of violence arising from the body.
La aparición en el año 2018 de la violencia en la obra de S. Ferrières-Pestureau es oportuna para recalcar la manera en que el arte se ha servido en diferentes épocas de todo aquello que excede las diferentes declinaciones del cuerpo humano traduciendo así la violencia. El autor se aplica aquí a relacionar los eventos mayores de la historia occidental de las transformaciones picturales que constituyeron a veces interpretaciones otras veces provocaciones atestiguando así nuevas percepciones de la violencia que surgen de los cuerpos.