Les noms de parties du corps et la possession inaliénable : le cas des constructions datives

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2015

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Isabelle Simatos, « Les noms de parties du corps et la possession inaliénable : le cas des constructions datives », Langue française, ID : 10670/1.g07uvx


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Cet article analyse les noms susceptibles d’entrer dans une construction à possesseur externe du type Ça lui a soulagé la conscience. Parmi ces noms, une différence radicale oppose ceux qui dénotent une propriété essentielle de l’homme et les autres. Dans le premier cas, le clitique datif sert d’antécédent nécessaire à la prédication de la relation de possession. Avec d’autres noms, la relation n’est pas de type anaphorique.

This paper analyzes nouns that can enter into an external possessor construction such as Ça lui a soulagé la conscience ( It relieved him the conscience ‘It relieved his conscience’). Among these nouns, there is a radical discrepancy between those which denote an essential property of human beings and those which do not. In the first case, the dative clitic is an obligatory antecedent for the predication of a possessive relation. With other nouns, the relation is not anaphoric.

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