Is there no other History than from Historians?: Practices and institutionalization of research on the past by non-historians N’est-il d’histoire que d’historiens ? Pratiques et institutionnalisations de la recherche sur le passé menée par des non-historiens: Pratiques et institutionnalisations de la recherche sur le passé menée par les non-historiens En Fr

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27 février 2021

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Virginie Barrusse et al., « N’est-il d’histoire que d’historiens ? Pratiques et institutionnalisations de la recherche sur le passé menée par des non-historiens: Pratiques et institutionnalisations de la recherche sur le passé menée par les non-historiens », HAL-SHS : archéologie, ID : 10.13135/2280-8574/5624


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Résumé En Fr

When are we ‘historians’? When are we doing history? Do we need to be the first, in order to do the second? Under the chairmanship of an historian, around fifteen representatives of the Humanities and Social Sciences practiced at the University Paris 1 Panthéon-Sorbonne freely discussed their scientific usages, how they define themselves institutionally, and the place of history and the relationship with the past in their respective fields, as well as their curricula and their careers. In jointly developing these issues, they aimed at moving the lines—at escaping the various configurations of the present ‘conflict of the faculties’ and of disciplinary hierar- chies (history vs. auxiliary sciences). Far from any essentialist epistemology, the intent of this conversation was to reflect on the methods, but also on the conditions, possibilities, and limits of the current dialogue between disciplines.

Quand sommes-nous des " historiens " ? Quand faisons-nous de l'histoire ? Faut-il être le premier, pour faire la seconde ? Sous la présidence d'un historien, une quinzaine de représentants des sciences humaines et sociales pratiquées à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ont librement débattu de leurs usages scientifiques, de la manière dont ils se définissent institutionnellement, de la place de l'histoire et du rapport au passé dans leurs domaines respectifs, ainsi que dans leurs cursus et leurs carrières. En développant conjointement ces questions, ils ont cherché à faire bouger les lignes, à échapper aux différentes configurations de l'actuel " conflit des facultés " et des hiérarchies disciplinaires (histoire vs sciences auxiliaires). Loin de toute épistémologie essentialiste, l'intention de cette conversation était de réfléchir sur les méthodes, mais aussi sur les conditions, les possibilités et les limites du dialogue actuel entre les disciplines.

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