L’« harmonie orchestrale » du drame Les Prétendants à la couronne, de Henrik Ibsen

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2019

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Florence Chapuis, « L’« harmonie orchestrale » du drame Les Prétendants à la couronne, de Henrik Ibsen », Études Germaniques, ID : 10670/1.haqzm4


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Dans son édition consacrée aux dix-sept dernières pièces d’Ibsen, parue dans la Bibliothèque de la Pléiade en 2006, Régis Boyer insiste sur l’influence des sagas et des textes médiévaux sur la scène norvégienne du xixe siècle. Les Prétendants à la couronne, qui présente les caractéristiques du drame romantique tel qu’Anne Ubersfeld l’a défini, montre également le souhait d’Ibsen d’associer la musique au théâtre, comme il devait le faire avec Edvard Grieg pour Peer Gynt. L’expression de James Joyce, harmonie orchestrale, employée pour qualifier l’ensemble de l’œuvre d’Ibsen, trouve donc une illustration presque littérale dans la pièce Kongs-emnerne.

Régis Boyer edited in 2006, in the Bibliothèque de la Pléiade, a renewed translation of the last seventeen plays of Henrik Ibsen, and insisted on the influence of the sagas on the 19th century Norwegian scene. The dramaturgical patterns used by the Norwegian author in The Pretenders fit the characteristics of the romantic drama defined by Anne Ubersfeld but also show Ibsen’s wish to associate music with his early plays, which will later be fulfilled with Edvard Grieg for Peer Gynt. James Joyce’s word used to to describe Ibsen’s work perfectly reflects the originality of the the play The Pretenders.

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