Pour une liturgie des villas miseria dans l’œuvre de César González

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14 mars 2024

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Salomé Dahan, « Pour une liturgie des villas miseria dans l’œuvre de César González », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.ilpuao


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En Argentine, l’émergence des « littératures post-autonomes » est étroitement liée à une réflexion sur les identités culturelles dans les territoires marginalisés. Les textes produits par les villas miserias sont intéressants en ce sens, car ils élaborent une poétique de l’excès, de l’accumulation et du kitsch qui s’inscrit à l’encontre de l’imaginaire du manque traditionnellement associé aux espaces pauvres. Le « cas César Gónzalez » mérite une attention particulière à l’intérieur de ce mouvement. Le cinéaste-écrivain originaire de la villa miseria « Carlos Gardel » en province de Buenos Aires prend part à la construction discursive des quartiers pauvres, à travers une esthétique qui mêle des références à Jean-Luc Godard, des citations inexactes de Karl Marx, des paroles de rap ou encore les rythmes de la cumbia villera.

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