De la recherche pour des avantages à la recherche dans l’incertain

Résumé 0

Cet article se veut un écho aux propositions de Vincent Béja (Quelle recherche pour la Gestalt-thérapie, n° 45), par une analyse des enjeux que sous-tend le développement d’une science gestaltiste qui demande de partir de l’idée d’un savoir situé (notion conceptualisée par la biologiste et philosophe féministe Donna Haraway) qui veut que « La connaissance située suppose de s’interroger sur la position du sujet producteur de la connaissance, sur les limites de sa vision, sur les relations de pouvoir dans lesquelles il s’inscrit ». Le point de vue développé ici pointe un certain nombre de risques qu’a la gestalt-thérapie de se couler elle-même dans le moule de la science, plutôt que d’en être la simple interlocutrice, partant de considérations épistémiques, philosophiques et politiques.

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