Provincialisme et art conceptuel : l'exemple de l'art belge (1969-1974) Provincialism and conceptual art : the Belgian instance (1969-1974) Fr En

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1 février 2013

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Laurence Pen, « Provincialisme et art conceptuel : l'exemple de l'art belge (1969-1974) », Theses.fr, ID : 10670/1.jzz409


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Située au centre du triangle formé par la France, les Pays-Bas et l’Allemagne, la Belgique est au cœur du réseau de diffusion des tendances conceptuelles dans les années 1970. La scène artistique belge est cependant sous-représentée dans les études consacrées à ce sujet. Il s’agit donc de montrer la place occupée par les travaux réalisés par Jacques Charlier, Jacques Lizène, Schwind et Alain D’Hooghe entre 1969 et 1974, en les analysant à la lumière des œuvres, mais aussi des textes qui ont contribué à la définition de l’art conceptuel. Cette approche permet de voir qu’ils en utilisent les codes afin de mettre en évidence leur position extérieure à ce réseau, tout en démontrant leur connaissance des débats provoqués par cette nouvelle manière de définir l’art. Au moyen des stratégies subversives puisées dans l’histoire du surréalisme belge, ils y participent en testant dans la pratique les limites de cette définition. Reconsidérer leur situation par rapport aux centres amène ainsi à réévaluer la position occupée par les travaux de ces artistes au sein des conceptualismes européens

Located in the centre of the geographical triangle formed by France, the Netherlands and Germany, Belgium is a merging point in the network that developed the conceptual art trends in the Seventies. The Belgian art scene is, however, under-represented in the critical and academic studies on this topic. The aim of this PhD thesis is therefore to show the relevance of the works by outstanding Belgian artists - Jacques Charlier, Jacques Lizène, Schwind and Alain D'Hooghe - between 1969 and 1974 in the light of those of conceptual art, but also in relation to the essays that have contributed to define it. Although their awareness of the international debate and even if they made use of the conceptual art codes, this comparative approach allows to underline how the above mentioned Belgian artists positioned their practices and how they operated independently from the main conceptual art network. Through subversive strategies inherited from Belgian surrealism, their works contributed to challenge the limit of the notion of conceptual art. To reconsider their stance leads to reassess the position of their work in the scope of the European conceptualisms

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