Raymonde Tricoire (1899-1994), félibresse ariégeoise : de l’ombre à la poésie primée

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2022

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Voix plurielles : Revue de l'Association des professeur.e.s de français des universités et collèges canadiens (APFUCC) ; vol. 19 no. 2 (2022)

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©, 2022CécileNoilhan




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Cécile Noilhan, « Raymonde Tricoire (1899-1994), félibresse ariégeoise : de l’ombre à la poésie primée », Voix plurielles: Revue de l'Association des professeur.e.s de français des universités et collèges canadiens (APFUCC), ID : 10.26522/vp.v19i2.4106


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Raymonde Tricoire, originaire de l’Ariège (Dun-Lavelanet), est peu connue de la critique d’oc. Un travail de dépouillement des revues de langue d’oc publiées au cours de la Seconde Guerre mondiale a révélé, paradoxalement, que Raymonde Tricoire se plaçait, pendant cette période, comme deuxième écrivaine la plus prolifique de la période (derrière Jeanne Barthès, plus connue sous le pseudonyme de Clardeluno) et à la douzième place, hommes et femmes confondus. L’œuvre de l’auteure ariégeoise est aussi abondante que variée en genres : poèmes, contes, articles en lien avec les différentes manifestations félibréennes… Cette première étude sur Raymonde Tricoire vise à donner au lecteur des informations biographiques – encore trop lacunaires – sur l’écrivaine, une analyse littéraire de quelques poèmes publiés au cours de la Seconde Guerre mondiale, ainsi qu’un essai de bibliographie.

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