Heurs et malheurs de la vertu dans trois romans grecs du XIXe siècle

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2009

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Henri Tonnet, « Heurs et malheurs de la vertu dans trois romans grecs du XIXe siècle », MOM Éditions, ID : 10670/1.l2y0ld


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Résumé En Fr

Since Coray formulated in 1804 the desire to see the Greeks write “moral novels”, the question of virtue and its lot has been at the centre of discussion of the neo-Hellenic novel. The subtitle of the novel of Jacques Pitsipios (1839), “The triumph of virtue”, is characteristic of an ideal vision of fiction. On the contrary, Leander (1834) of Panayotis Soutsos and Thanos Vlekas (1955) of Paul Kalligas illustrate the misfortunes of virtue. The representatives of the picaresque novel, The Man of a thousand Misadventures (1839) of Gregory Palaeologos and Pope Joan (1866) of Emmanuel Rhoïdis demonstrate the misfortunes of virtue, even the (passing) triumph of vice.

Depuis qu’en 1804 Coray a formulé le désir de voir les Grecs écrire des « romans moraux », la question de la vertu et de son sort est au centre de la problématique du roman néo-hellénique. Le sous-titre du roman de Jacques Pitsipios (1839), « Le triomphe de la vertu », est caractéristique d’une vision idéale de la fiction. Au contraire, Léandre (1834) de Panayotis Soutsos et Thanos Vlékas (1955) de Paul Kalligas illustrent les malheurs de la vertu. Les représentants du roman picaresque, L’Homme aux mille mésaventures (1839) de Grégoire Palaiologue et la Papesse Jeanne (1866) d’Emmanuel Rhoïdis, montrent les mésaventures de la vertu, voire le triomphe (passager) du vice.

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