Confins et labyrinthes

Résumé 0

L’une des dernières parties des Nuits de Vladivostok s’intitule « Horizons et souterrains ». Une manière pour l’auteur de définir les bornes du territoire où se déploie son œuvre, mais aussi d’en dessiner les enjeux. S’il fallait en esquisser une représentation graphique en termes mathématiques, les données géographiques représenteraient l’axe des abscisses, quand sur l’axe des ordonnées figurerait le monde flottant du temps, qui confère à l’imaginaire garcinien sa verticalité. Christian Gar...

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