Facebook, pour quoi faire ? : Configurations d’activités et structures relationnelles

Fiche du document

Date

2017

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.3917/socio.081.0057

Organisation

Sciences Po

Licences

http://creativecommons.org/licenses/by-sa/ , info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Irène Bastard et al., « Facebook, pour quoi faire ? : Configurations d’activités et structures relationnelles », Archive ouverte de Sciences Po (SPIRE), ID : 10.3917/socio.081.0057


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

Cet article décrit la diversité des comportements sur Facebook. À partir d’une enquête quantitative portant sur les données extraites de 15 145 comptes Facebook, il propose une interprétation morphologique et structurale des modalités d'expression et interaction sur le réseau socionumérique. Six configurations sont identifiées à partir des différentes activités que la plateforme offre aux utilisateurs : une classe de non-actifs, deux classes dominées par la conversation (en groupe, ou distribuée sur la page des amis) et trois classes d’utilisateurs qui privilégient l’expression sur leur propre page (égocentrés, égovisibles, partageurs). En croisant ces données d’activité avec des indicateurs socio-démographiques ou structurels, on saisit l’influence capitale de l’âge, du sexe ou de la structure du réseau amical sur ces configurations. On observe ainsi une forte sensibilité du réseau en fonction de l’âge de l’utilisateur et une spécialisation d’un sous-réseau de commentateurs réguliers chez les utilisateurs les plus actifs de Facebook.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en