Un intérêt général 2.0 : apports, enjeux, limites et perspectives

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10 juillet 2022

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Martine Kaluszynski, « Un intérêt général 2.0 : apports, enjeux, limites et perspectives », HAL-SHS : sciences politiques, ID : 10670/1.nm0zcl


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Résumé Fr

Tout est bien qui finit bien… bien commun, bien public, termes en filigrane autour de l'intérêt général ainsi défini « comme ce qui est pour le bien public », si l'on suit la définition du Vocabulaire juridique de Gérard Cornu (Cornu, 2005, p. 496) et qui doit être mise en rapport avec des notions proches que les acteurs emploient pour distinguer et/ou expliciter les usages qu'ils font de la notion (Chevallier, 1978). Dans les faits, le terme d'utilité publique est lié aux fondations et à certaines associations, tandis que le terme d'intérêt général, plus courant, n'est lié, en ce qui concerne les questions de mécénat, qu'aux associations. À première vue et pour beaucoup, les deux termes sont similaires. Leurs sens sont en effet assez peu dissociables, les deux notions ayant en commun l'intérêt collectif. Cet ouvrage donne à voir, selon les chronologies, les approches, les terrains, « quelque chose » de l'intérêt général, et également de « la capacité des individus à transcender leurs appartenances et leurs intérêts pour exercer la suprême liberté de former ensemble une société politique » (Conseil d'État, 1999, p. 353). Il a pu étoffer les travaux à l'origine de ce projet où, quels que soient les objets ou les disciplines, la notion d'intérêt général, sous des acceptions et des formulations diverses-« bien commun », « intérêt public », « utilité publique »-a pu être sollicitée et mobilisée, sans pourtant qu'elle ait débouché sur des éclairages pluridisciplinaires visant à traiter cet objet véritablement pluriel

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