Fiche du document
2010
- handle: 10670/1.oti3dq
- halshs: halshs-01087852
info:eu-repo/semantics/OpenAccess
Mots-clés
middle ages eating banquet french literature old french moyen français sémantique table commensalité convivialité symboliqueSujets proches
Allegory and symbolism Allegory Frenchmen (French people) 14th century Western art (Western countries) Fine arts Iconography Arts, Fine Art, Occidental Arts, Visual Visual arts Occidental art Art, Visual Art, Western (Western countries) In fiction, drama, poetry, etc Avenue Boulevard Cours Allégorie Symbolique Signifiant Sémantique Gender studies Genre Produits fins de glycosylation avancée AGEs Produits de glycation avancée Spectateurs Public Auditoire Assistance (public) Visiteurs Fréquentation Audience Chartes de franchise Franchises (droit) Symbolique Interprétations Dans la poésie Thème littéraire Dans les romans Représentation dans la littérature Dans le théâtre Représentation littéraire Représentation romanesque Instabilité Théories stables XIVe siècle 14e siècle Beaux-arts Arts plastiques Oeuvres d'art Arts visuels Autorité (philosophie) Sémasiologie Sémantique (linguistique) français langue d'oïl objets petit objet notion d'espace source littéraire banquet assis banquet couché auctoritasCiter ce document
David-Jonathan Benrubi, « Ni table, ni dais : qu'est-ce qu'un dois ? », HAL-SHS : linguistique, ID : 10670/1.oti3dq
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Résumé
A partir d’une thèse de l’École des Chartes consacrée aux « Représentations de la table et de la commensalité 1150-1350 », on convoque dans cet article des sources littéraires, lexicographiques et iconographiques afin de percer le sens du terme « dois », rencontré dans la littérature française dans la brève période 1150-1250. Ni une simple table, ni un dais au sens actuel (qui émerge au cours du XIVe siècle), le « dois » désigne à la fois un espace et un objet (un genre de table inamovible et surélevée, aux pieds fixes), non strictement dévolus à la commensalité, qui manifestent, réellement et symboliquement, la stabilité et l’autorité de celui qui s’y installe.