L’Académie de peinture et de sculpture de Marseille : les statuts et règlements

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2016

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Laetitia Pierre et al., « L’Académie de peinture et de sculpture de Marseille : les statuts et règlements », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10670/1.psfpwu


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L'Académie de peinture et de sculpture de Marseille : les statuts et règlements L'obtention de lettres patentes représentait un graal pour l'institution marseillaise, qui n'avait pas toute la visibilité souhaitée par les fondateurs au sein de la ville 1. Les sources d'archives sont riches mais lacunaire, et on doit aux travaux d'Étienne Parrocel d'avoir retracé l'histoire des institutions artistiques en Provence. Il a publié entre 1862 et 1889 les études historiques les plus complètes à ce jour sur l'Académie de peinture et de dessin de Marseille 2. Les lettres patentes de l'institution marseillaise sont officiellement enregistrées par le Parlement de Paris, le 18 février 1780, par celui d'Aix-en-Provence, le 17 mars 1780, puis auprès de l'Académie royale de peinture et de sculpture de Paris, le 10 juin 1780. Les originaux sont actuellement conservés dans les archives de l'Académie des Sciences, Lettres et Arts de Marseille. Un exemplaire est également conservé dans les archives de l'Académie de peinture, sculpture et architecture civile et navale de Marseille 3. Parrocel témoigne des déboires essuyés par l'Académie de dessin de Marseille au cours des années 1760 à 1780. Cheville ouvrière du projet des lettres patentes, Dandré-Bardon se fait le relai inlassable des négociations conduites entre Paris et Marseille. Parrocel lui accorde une place particulière en tant que directeur perpétuel de l'école académique de Marseille. Il lui octroie tout d'abord la paternité du projet de création de l'école. Ses premiers Fragments consacrés à l'histoire de l'académie font remonter ses démarches à l'année 1750. Il mentionne un de ses discours intitulé Sur l'avantage de l'union des arts et des lettres, lu le jour de sa réception à l'Académie des Belles-Lettres de Marseille.

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