Aspects esthétiques de la pierre à bâtir dans l’architecture parisienne à l’époque moderne

Fiche du document

Date

2009

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Persée

Organisation

MESR

Licence

Copyright PERSEE 2003-2023. Works reproduced on the PERSEE website are protected by the general rules of the Code of Intellectual Property. For strictly private, scientific or teaching purposes excluding all commercial use, reproduction and communication to the public of this document is permitted on condition that its origin and copyright are clearly mentionned.



Citer ce document

Ania Skliar Guini, « Aspects esthétiques de la pierre à bâtir dans l’architecture parisienne à l’époque moderne », Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques, ID : 10670/1.qk3z2v


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Tous les traités d’architecture français, du XVIe au XVIIIe siècle, réservent une place à l’étude esthétique des pierres : couleur, taille, appareillage. « La condition de solidité, d’utilité, de beauté », qui était déjà énoncée par Vitruve, est une préoccupation essentielle des architectes, aidés en cela par les carriers, les tailleurs de pierre et les appareilleurs. Le souci d’allier l’esthétique à la solidité est donc constant. Comme un tableau, une façade peut se regarder sous plusieurs aspects : couleur, dessin, et composition. La pierre est destinée à faire partie d’un ensemble dont la beauté dépend de la cohésion harmonieuse de ces différents aspects. À travers des documents d’archives, notamment les devis de maçonnerie concernant certains bâtiments parisiens, on apprend ainsi que les pierres d’une façade doivent toutes être de la même couleur et l’on découvre que la stéréotomie et la mise en œuvre contribuent tout autant à la majesté et à l’harmonie de l’édifice.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en