Decodability of texts in first grade La déchiffrabilité des écrits au cours préparatoire En Fr

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24 novembre 2021

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Jérôme Riou et al., « La déchiffrabilité des écrits au cours préparatoire », HAL-SHS : sciences de l'éducation, ID : 10.4000/educationdidactique.9207


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Résumé En Fr

In this article, the authors focus on the texts that are used as teaching aids for reading in first grade. They ask whether the use of the digital platform Anagraph (Riou et al., 2016) has an impact on the decodability of the texts offered to pupils, and whether this decodability varies from one class to another depending on the reading manuals used by teachers. To answer these questions, they have a set of data, some collected by questionnaire from 373 first-grade teachers, others recorded on Anagraph. They find that the texts offered to pupils are two-thirds decodable on average, regardless of the reading manual used, and that it is teachers without a reading manual who offer their pupils the most decodable texts. Moreover, by comparing their results with those of the Lire et Écrire study (Goigoux, 2016), they observe an increase in the average speed of study of grapheme-phoneme correspondences.

Dans cet article, les auteurs s’intéressent aux écrits qui servent de supports d’enseignement de la lecture au cours préparatoire. Ils souhaitent notamment savoir si l’usage de la plateforme numérique Anagraph (Riou et al., 2016) a une incidence sur la déchiffrabilité des écrits proposés aux élèves, et si cette déchiffrabilité varie d’une classe à l’autre selon les manuels de lecture utilisés par les enseignants. Pour répondre à ces questions, ils disposent d’un ensemble de données, certaines recueillies par questionnaire auprès de 373 enseignants de cours préparatoire, d’autres enregistrées sur Anagraph. Ils constatent que les écrits proposés aux élèves sont déchiffrables aux deux tiers en moyenne, quel que soit le manuel de lecture utilisé, et que ce sont les enseignants sans manuel de lecture qui proposent à leurs élèves les écrits les plus déchiffrables. Par ailleurs, en comparant leurs résultats avec ceux de l’étude Lire et Écrire (Goigoux, 2016), ils notent une augmentation de la vitesse moyenne d’étude des correspondances graphophonémiques.

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