The European Union-Japan economic partnership agreement: trends and issues in the wine economy [L'accord de partenariat économique Union Européenne-Japon et l'économie du vin] En Fr

Fiche du document

Date

2019

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess

Résumé En Fr

This article briefly analyzes the implications for the wine sector of the signing of the Economic Partnership Agreement (EPA) between the European Union and Japan on the 17th of July 2018. After having recalled the consequences on all the exchanges and then on the agri-food sector, the effects on the wine sector were specified, in particular the disappearance of the 15% customs duties and the recognition of PDOs and PGIs. This note recalls the classic advantages of this type of agreement but underlines the complexity of an impact assessment by market segments. The power of the EU wine is compared to the Japanese weakness. But this agreement is also seen as enabling the EU to level the playing field with the signatory countries of the Trans-Pacific Agreement: Australia, Chile, New Zealand and the United States. Finally, due to the nature and origins of their wines, the Japanese wine production is expected to remain in a highly differentiated market segment, rather oriented towards high prices following the German and Swiss models.

Cet article analyse brièvement les conséquences sur le secteur viticole de l’accord de partenariat économique (APE) - Economic Partnership Agreement (EPA) que l’Union Européenne et le Japon ont signé le 17 juillet 2018. Après avoir rappelé les conséquences sur l’ensemble des échanges, puis sur le secteur agro-alimentaire, les effets sur la filière vin sont précisés, en particulier la disparition des 15 % de droits de douanes et la reconnaissance des AOP et IGP. Cette note rappelle les avantages claissiques de ce type d’accord mais souligne la complexité d’une évaluation d’impact par segment de marché. La puissance de l’UE viticole est comparée à la faiblesse japonaise. Mais par ailleurs cet accord est considéré comme un rattrapage de compétitivité vis-à-vis des pays signataires de l’accord transpacifique : l’Australie, le Chili, la Nouvelle Zélande et les États-Unis. Enfin la production japonaise est appelée à se maintenir dans un segment de marché très différencié par la nature et l’origine de ses vins, et plutôt orientée vers des prix élevés comme dans les modèles allemand et suisse.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en