Trade integration and the destination of subsidies

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2009

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Résumé En Fr

We build a model of trade and location with two countries which differ with respect to their level of productivity. Public expenditures are shared between a subsidy to firms reducing the labor cost and another one to households. We show that the high-productivity country pays a lower net subsidy to each firm than does the other country. Nevertheless, the high-productivity country succeeds in attracting a majority of firms and invests more public expenditures for firms and households if trade cost are high enough. Finally, the welfare analysis suggests that the non-cooperative level of net subsidy to firms can be inefficiently low in the high-productivity country under some conditions -- such as the distribution of profits and the level of trade costs -- while it is always inefficiently high in the low-productivity country.

Nous développons un modèle de commerce et de localisation comprenant deux pays différents en terme de productivité. Les dépenses publiques ont deux affectations possibles : une subvention forfaitaire aux ménages immobiles et une aide aux firmes mobiles diminuant le coût salarial qu’elles supportent. Nous montrons qu’à l’équilibre en subventions le pays à haute productivité alloue aux firmes une aide publique nette de taxe plus faible. En dépit de cette politique moins généreuse, le premier pays accueille une plus grande part de firmes de sorte que ses dépenses totales en faveur de ces dernières peuvent être plus importantes que dans le pays à faible productivité quand l’intégration commerciale est suffisamment avancée. L’analyse de bien-être suggère que l’optimum de second rang nécessite une politique plus généreuse vis-à-vis des ménages lorsque les économies sont faiblement intégrées, que l’écart de productivité est faible ou qu’une part importante des propriétaires du capital réside en dehors des deux économies.

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