Bases sociopolíticas para una ética ecológica y solidaria

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14 août 2012

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José Manuel Naredo, « Bases sociopolíticas para una ética ecológica y solidaria », Polis, ID : 10670/1.um19tv


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Cuestionando la idea de un proyecto globalizante de ciudadanos supuestamente libres e iguales, el autor reflexiona sobre los desafío de un mundo que no es capaz de compatibilizar el progreso material con la supervivencia de la especie humana y de la vida en la tierra. El divorcio entre técnica, política y valores, parece insalvable dentro del actual esquema hegemónico de pensamiento, centrado en las nociones parceladas de sistema económico y sistema político- El individualismo posesivo, llevado a su máxima expresión en las formas del capitalismo globalizado y la financiarización de la economía, está en el origen de la actual crisis planetaria. El texto propone una nueva mirada en torno a la valoración de las comunidades y de los derechos grupales (tantas veces motejadas de primitivas o propias del Antiguo Régimen) como contrapeso a las ya impotentes concepciones del contractualismo y de la libertad sin límites.

Remettant en question l’idée d’un projet globalisant de citoyens prétendus libres et égaux, l’auteur réfléchit sur les défis d’un monde qui s’avère incapable de rendre compatibles le progrès matériel et la survie de l’espèce humaine et de la vie sur terre. Le divorce entre technique, politique et valeurs, semble consommé au sein de l’actuel schéma hégémonique de pensée, centré sur les notions fragmentées de système économique et de système politique – L’individualisme possessif, dans son expression la plus poussées à travers les formes de capitalisme globalisé et la financiarisation de l’économie, se trouve à l’origine de l’actuelle crise planétaire. Le texte propose de porter un nouveau regard sur la mise en valeur des communautés et des droits collectifs (tant de fois taxées de primitives ou propres de l’Ancien Régime) comme contrepoids aux imposantes conceptions de contractualisme et de liberté sans limites.

Discussing the idea of a globalization project of presumptively free and equal citizens, the author analyses the changes of a world which is not capable of  making compatible material progress with the survival of the human species and life on earth. The divorce between technology, politcs and values, seems insurmountable from within the current hegemonic thinking, centered on the notions of a biased economical and political system. The posesive individualism, taken to its outmost expresion in the form of globalized capitalism and financery oriented economy, is in the origin of the current planetary crisis. This essay proposes a new perspective on the value of comunities and groupal wrights (too many times ridiculized as primitives or proper of the Old Regime) as a counterweight to the already impotent conceptions of contractualism and unlimited freedom.

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