Les « zones grises » de la démocratie brésilienne : le phénomène des « milices » et les enjeux sécuritaires contemporains à Rio de Janeiro

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Luciana Araujo de Paula, « Les « zones grises » de la démocratie brésilienne : le phénomène des « milices » et les enjeux sécuritaires contemporains à Rio de Janeiro », HAL-SHS : histoire, philosophie et sociologie des sciences et des techniques, ID : 10670/1.uslj9y


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Depuis une quinzaine d'années, il existe un optimisme économique et politique croissant à l'égard du continent latino-américain. Toutefois, il s'agit également du continent qui détient le taux le plus élevé d'homicides ainsi qu'une corruption politique endémique – toujours plus liée aux activités criminelles et aux membres des institutions sécuritaires de l'appareil d'État. La « normalisation » du comportement répressif de l'État au nom de la démocratie tout en renforçant certaines de ses dérives autoritaires est une pratique usuelle dans les pays latino-américains. Dans quelle mesure ce paradoxe est-il intrinsèque au processus de démocratisation par lequel passe ces pays ? Pour apporter des éléments de réponse, on développera ici le concept de « zone grise » à travers l'exemple du phénomène des « milices » dans la zone ouest de Rio de Janeiro.

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