Les spasmes du subjectile : brutalité du pan, de Balzac à Proust

Fiche du document

Date

2006

Discipline
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes




Citer ce document

Arnaud Rykner, « Les spasmes du subjectile : brutalité du pan, de Balzac à Proust », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10670/1.vs2yl3


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Le "pan", dont La Prisonnière de Proust pourrait passer pour l'acte de baptême (épisode de la mort de Bergotte), est le lieu où le symbolique du langage (et de la littérature) est rabattu sur l'indiciel. Il est aussi et surtout le lieu improbable où se produit la rencontre brutale avec le Réel (la remontée, la percée du réel à travers l'écran du langage). On étudie ici, dans des textes aussi canoniques que Le Chef d'oeuvre inconnu, de Balzac, l'Oeuvre, de Zola, le Portrait de Dorian Gray, de Wilde, ou, bien sûr, La Prisonnière, de Proust, quelques modalités de cette remontée d'un brut qui échappe au pur quadrillage du code.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en