Stendhal et le sublime : le mot d’ordre et le lieu commun

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23 janvier 2024

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Le Scanff Yvon, « Stendhal et le sublime : le mot d’ordre et le lieu commun », Revue Stendhal, ID : 10670/1.vyxnnz


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Cette analyse se donne pour objet d’étudier le rendement du mot « sublime » dans l’œuvre romanesque de Stendhal comme valeur et comme représentation. Il est ce qui fonde la valeur, mais il est aussi ce qui représente la valeur. Il appert donc que le mot présente un double rendement : il est à la fois le mot d’ordre absolu du régime romanesque et un lieu commun qu’on (s’)échange dans le cadre d’un régime « réaliste » de la représentation.

The aim of this analysis is to study the performance of the word “sublime” in Stendhal’s novels as a value and as a representation. It is what founds value, but it is also what represents value. It would seem, then, that the word performs a double function: it is both the absolute watchword of the novelistic regime and a commonplace (exchanged) within the framework of a “realistic” regime of representation.

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