L'impossible authenticité des jardins historiques – l'exemple de Sceaux

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1 octobre 2015

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Angèle Denoyelle, « L'impossible authenticité des jardins historiques – l'exemple de Sceaux », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10670/1.wos0sh


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Résumé Fr

Longtemps, les jardins historiques n’ont pas été considérés comme des monuments à part entière, et par conséquent, ils n’ont pas été protégés autrement qu’en étant des abords de monuments architecturaux. Enfin reconnus à la fin du XXe siècle, la question de leur restauration se pose à l’échelle internationale. Comment restaurer un monument vivant ? Comment se positionner dans l’histoire d’un lieu qui n’a pas cessé d’évoluer au cours de son existence ? La restauration des parterres de broderies de Sceaux a été au cœur de nombreux débats ces derniers temps. Alors que la tendance serait plutôt à la réactualisation des parcs anciens, dans l’esprit de la Charte de Florence, le maitre d’ouvrage et le maitre d’œuvre ont fait le choix d’un retour à un état historique depuis longtemps disparu. Pour autant, ce nouveau décor, s’il est discutable, n’entre pas en réelle concurrence avec la spatialité du lieu. Qu’est-il important de transmettre à nos successeurs : l’espace ou le décor ?

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