Conservation et gestion des sites archéologiques en Asie centrale: Mise en place d'une stratégie adaptée aux structures en terre

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1 février 2008

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David Gandreau et al., « Conservation et gestion des sites archéologiques en Asie centrale: Mise en place d'une stratégie adaptée aux structures en terre », HAL-SHS : architecture, ID : 10670/1.wus0k7


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Résumé En Fr

Following recommendations made in the context of the Central Asian Earth Program by the representatives of the five Central Asian countries involved, several conservation projects concerning earthen buildings in an archaeological context were carried out or are in progress. The results observed on five sites (Merv and Nisa in Turkmenistan, Fayaz Tepa and Ayaz Kala in Uzbekistan, and Sarazm in Tadjikistan) illustrate the progress made in terms of conservation techniques and site management. The work undertaken on these pilot sites reveals improved cooperation between archaeologists and conservators and a greater openness to stakeholders. Yet cooperation efforts need to be stepped up. Similarly, the establishment of closer ties between individuals and institutions in charge of archaeological heritage on the regional level should continue to be encouraged.

Suite aux recommandations établies dans le cadre du programme Central Asian Earth par les représentants des cinq pays d’Asie centrale impliqués, plusieurs projets de conservation ont été réalisés ou sont en cours de réalisation sur des édifices en terre dans un contexte archéologique. Les résultats observés sur cinq sites (Merv et Nisa au Turkménistan, Fayaz Tepa et Ayaz Kala en Ouzbékistan et Sarazm au Tadjikistan) attestent des progrès réalisés en termes de techniques de conservation et de gestion des sites. Le travail engagé sur ces sites pilotes témoigne aussi d’une meilleure coopération entre les archéologues et les conservateurs et d’une plus grande ouverture vis-à-vis des acteurs concernés. Pour autant, ces efforts de coopération méritent d’être encore renforcés. De même, de nouveaux rapprochements comme ceux déjà établis entre les personnes et institutions en charge du patrimoine archéologique au niveau régional doivent être encouragés

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