Max Rouquette et Dante, de la traduction de L’Enfer à la découverte d’une fraternité littéraire

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2016

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Estelle Ceccarini, « Max Rouquette et Dante, de la traduction de L’Enfer à la découverte d’une fraternité littéraire », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.x4zoz6


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Il est connu que, tout au long de sa vie, Max Rouquette a accordé une place non négligeable à la traduction de grands écrivains dont l’œuvre le fascinait. Parmi ceux-là, l’un des premiers est Dante, dont il commence à traduire L’Enfer dès le début des années Trente. Cet exercice qui accompagne la lecture d’autres œuvres de Dante dans le texte original est plus qu’un exercice de jeunesse et constitue une grande traduction qui mérite qu’on s’y attarde. La traduction de L’Enfer permet aussi à Max Rouquette de rencontrer l’homme que fut Dante, et avec lui l’Italie, qui deviendront des jalons importants dans sa réflexion sur le lien entre langue et Nation , sur le style de l’écrivain et enfin, sur la figure de l’écrivain même

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