Introduction. La mort et ses frontières : négocier l'infranchissable ?

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11 juillet 2022

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Reine-Marie Bérard, « Introduction. La mort et ses frontières : négocier l'infranchissable ? », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10.35562/frontieres.1254


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Une revue nommée Frontière•s se devait de dédier un numéro à la mort, « ultime frontière » selon l'expression consacrée qui voit dans la mort un seuil que l'on ne franchit qu'une fois, vers un ailleurs dont on ne reviendrait pas. Pourtant, loin d'un « instant T » qu'il serait possible de désigner précisément sur l'échelle du temps, la mort est un processus complexe, dont la définition est éminemment culturelle 1. Dans l'Antiquité et au Moyen Âge, la mort biologique et la mort sociale, tout comme la façon dont les vivants envisagent leurs rapports aux morts (aux corps morts d'une part et aux morts comme êtres de mémoire d'autre part), ou encore l'inscription des défunts dans un espace, plus ou moins séparé de celui des vivants, sont autant de phénomènes qui mettent en jeu la notion de frontière de manière plurielle. C'est de ce constat qu'est née la proposition de ce numéro thématique, consacré à « la mort et ses frontières », que nous souhaitons ici questionner 2 .

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