Stanislaus Sandarupa

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“The Voice of a Child”: Constructing a Moral Community through Retteng Poetic Argumentation in Toraja
Stanislaus Sandarupa (13 mars 2017)
Varia
Henri Chambert-Loir et al. (13 mars 2017)

Lettre de H. Van der Veen remise à H. Nooy Palm en 1968, c. p., traduite du néerlandais par Thomas Beaufils.
Dana Rappoport et al. (2004)
Lettre de H. Van der Veen remise à H. Nooy Palm en 1968, c. p., traduite du néerlandais par Thomas Beaufils.
Dana Rappoport et al. (2004)
Extrait d'un dialogue versifié entre deux chanteurs de retteng recueilli par S. Sandarupa (2004 : 237). Les attaques se font au coeur du poème par le biais d'images métaphoriques cinglantes.
Dana Rappoport (1993)
Extrait d'un dialogue versifié entre deux chanteurs de retteng recueilli par S. Sandarupa (2004 : 237). Les attaques se font au coeur du poème par le biais d'images métaphoriques cinglantes.
Dana Rappoport (1993)
Extrait d'un dialogue versifié entre deux chanteurs de retteng recueilli par S. Sandarupa (2004 : 237). Les attaques se font au coeur du poème par le biais d'images métaphoriques cinglantes.
Dana Rappoport (1993)
Extrait d'un dialogue versifié entre deux chanteurs de retteng recueilli par S. Sandarupa (2004 : 237). Les attaques se font au coeur du poème par le biais d'images métaphoriques cinglantes.
Dana Rappoport (1993)
Extrait d'un dialogue versifié entre deux chanteurs de retteng recueilli par S. Sandarupa (2004 : 237). Les attaques se font au coeur du poème par le biais d'images métaphoriques cinglantes.
Dana Rappoport (1993)
Extrait d'un dialogue versifié entre deux chanteurs de retteng recueilli par S. Sandarupa (2004 : 237). Les attaques se font au coeur du poème par le biais d'images métaphoriques cinglantes.
Dana Rappoport (1993)
Au début, le chant est un appel à la descente des divinités, un appel à la venue de « l'arme tranchante », de la « chose coupante ». L'importance de la vision est ici centrale (l'officiant « entrevoit », « voit confusément », dans ses « rêves »). Tout au long du chant, est suggéré un flottement hésitant entre le visible et l'invisible.
Dana Rappoport et al. (1993)
Au début, le chant est un appel à la descente des divinités, un appel à la venue de « l'arme tranchante », de la « chose coupante ». L'importance de la vision est ici centrale (l'officiant « entrevoit », « voit confusément », dans ses « rêves »). Tout au long du chant, est suggéré un flottement hésitant entre le visible et l'invisible.
Dana Rappoport et al. (1993)
Chant marakka, Pa' Danduru Dalle, Buntao', 1993. L'échelle et les paroles se distinguent ici de la plupart des autres chants de marakka.
Dana Rappoport (1993)
Pa' Kayu Tuo, les deux premiers vers, Gandang Batu, juillet 1993.
Dana Rappoport (1993)
L'arrivée est dramatisée : tout d'abord, par l'indétermination. Les divinités ne sont jamais nommées, si ce n'est de manière détournée. La progression est dramatisée par l'arrivée des navires, emprunt à l'imaginaire du répertoire bugi' décrivant la progression de navires gravissant les montagnes. Ici, les divinités descendent des montagnes, elles « tombent sur les hommes ». Le chant est appelé aussi « strophes écarlates » *syair borrong.
Dana Rappoport (1993)
Extrait du « chant de l'être-en-divinité » (gelong kandeatan). « En redescendant du tambour, le chœur chante ».
Dana Rappoport (1993)
Sode-sode to minaa, autoglorification de l'officiant to minaa, vers 38-50.
Dana Rappoport (1993)

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