Modernité et postmodernité : De l’isolement à l’éclatement dans le cadre (Blow up - Minority Report)

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2008

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Résumé En Fr

In its reflexive manifestation, cutting process can break up and deconstruct the event. That’s precisely what occurs in two different formal but complementary narratives, Blow up (Michelangelo Antonioni, GB, 1966) and Minority Report (Steven Spielberg, USA, 2003), in which the cutting affects aesthetic such as narration, by visual and narrative off screen. If the cutting touches the border frame in modernity case, surrounding space perception in postmodernity brings the look to split, by digital use and texture hybridization it generates.

Le processus du découpage, dans son incarnation réflexive, peut morceler l’événement, le déconstruire. C’est précisément ce qui s’opère dans Blow up (Michelangelo Antonioni, GB, 1966) et Minority Report (Steven Spielberg, USA, 2003), récits aux formes distinctes mais complémentaires, où la découpe travaille l’esthétique et la narration, par des hors-champs visuels et narratifs. Mais si la découpe interpelle, dans l’exemple de la modernité, les frontières du cadre, la perception englobante de l’espace dans la postmodernité procure un éclatement du regard, par l’usage du numérique et l’hybridation des textures d’images qui en découlent.

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