Fondements de la communauté. Aspects performatifs des façades de palais à la Renaissance

Fiche du document

Date

2013

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Persée

Organisation

MESR

Licence

Copyright PERSEE 2003-2023. Works reproduced on the PERSEE website are protected by the general rules of the Code of Intellectual Property. For strictly private, scientific or teaching purposes excluding all commercial use, reproduction and communication to the public of this document is permitted on condition that its origin and copyright are clearly mentionned.




Citer ce document

Matteo Burioni, « Fondements de la communauté. Aspects performatifs des façades de palais à la Renaissance », Histoire de l'art, ID : 10.3406/hista.2013.3454


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

The façade is not a visual picture : we perceive architecture through various experiences, our bodies and our movements. As the link between the words facciata and faccia (face) suggests, architecture imposes itself upon us face to face, it addresses us and asks us to react. This study focuses on the Rucellai palace designed by Alberti, and deals with three aspects of the figurative nature of architecture that is taking shape in the perceptual process : first with the portal as a threshold that appears like a picture, then with the bench, in which architecture needs the body of the observer to produce meaning, and finally with the voice reverberated through the cornice and creating a shared community space.

La façade ne doit pas être considérée comme une image visuelle : nous appréhendons l'architecture par des expériences diverses, par notre corps et nos déplacements ; comme le suggère le rapport entre faccialae t faccia (le visage), l’architecture s’impose à nous dans un face à face, elle s’adresse à nous et nous engage à réagir. L’étude porte principalement sur le palais Rucellai conçu par Alberti, et l’on s’intéresse à trois aspects du caractère figuratif de l’architecture qui prend forme au cours du processus perceptif : d’abord au portail en tant que seuil qui se manifeste comme image, ensuite au banc, lieu où l’architecture a besoin du corps de l'observateur pour produire du sens, enfin à la voix réverbérée par la corniche et qui crée un espace partagé de la communauté.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en