L’État dévoreur et les communautés polycentrées du patrimoine

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30 octobre 2024

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Le propos développé dans cet article se place dans le sillage d’une discussion ouverte par le numéro spécial de l’Espace Géographique coordonné par B. Debarbieux et E. Hertz sur la « patrimonialisation et les politiques de l’échelle à l’Unesco », et de l’article de Nicolas Adell publié à ce sujet dans Terrain. Tout en rappelant la portée heuristique de l’analyse scalaire, l’article en examine également quelques limites et compléments possibles. En particulier, il argumente que prendre en compte la dimension transnationalisée et/ou l’organisation réticulaire des « communautés » patrimoniales est dans certains cas une nécessité pour saisir les jeux d’acteurs en matière de PCI, au-delà de la relation tripartite communautés/État/Unesco.

This article follows on from a discussion initiated by the special issue of Espace Géographique coordinated by B. Debarbieux and E. Hertz on “Patrimonialization and the politics of scale at UNESCO”, and Nicolas Adell’s article on the subject published in Terrain. While recalling the heuristic scope of scalar analysis, the article also examines some of its limitations and possible additions. In particular, taking into account the transnationalized dimension and/or reticular organization of heritage “communities” appears in some cases to be a necessity for understanding the interplay of actors in ICH matters, beyond the tripartite relationship between communities/State/Unesco.

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