Hogarth a parlé de cinéma : Eisenstein théoricien de la ligne serpentine d’Hogarth dans « Organicité et imagicité » (1934)

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12 novembre 2020

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Marie Gueden, « Hogarth a parlé de cinéma : Eisenstein théoricien de la ligne serpentine d’Hogarth dans « Organicité et imagicité » (1934) », 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze, ID : 10.4000/1895.7378


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Cette présentation du texte d’Eisenstein « Organicité et imagicité », examine l’histoire de cet essai et des différentes versions qu’il a connues afin de mesurer l’intérêt de la version complète ici publiée à partir des sources manuscrites. Elle examine ensuite la place qu’occupe l’œuvre de Hogarth chez Eisenstein, de l’œuvre graphique et picturale à la théorie de la « ligne serpentine » et comment celle-ci vient s’inscrire de manière structurante dans la réflexion esthétique du cinéaste qui, dans les années 1930-1940, tente d’articuler selon un continuum phénomènes naturels, processus psychiques et pratiques artistiques.

This presentation of Eisenstein’s text “Organicity and Imagicity” examines the history of this essay, and the various versions it has known, in order to measure the interest of the complete version published here from handwritten sources. The discussion then considers the place occupied by Hogarth’s work in Eisenstein’s universe, from graphic and pictorial work to the “serpentine line theory”, and how it fits in structurally with the aesthetic reflection of the filmmaker, which, in the years 1930-40, tries to articulate natural phenomena, psychic processes and artistic practices, as parts of a continuum.

Questa presentazione del testo di Ejzenštejn, « Organicità e immaginità », esamina la storia del saggio e delle sue diverse versioni, al fine di soppesare l’interesse della versione completa, qui pubblicata a partire da fonti manoscritte. Esamina quindi il posto che occupa nella produzione di Ejzenštejn l’opera di Hogarth, da quella grafica e pittorica alla teoria della « linea serpentina », e come questa si inscriva in modo strutturante nella riflessione estetica del cineasta, che negli anni 1930-1940 tenta di articolare secondo un continuum fenomeni naturali, processi psichici e pratiche artistiche.

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