« La motoculture intellectuelle » selon Émile Vuillermoz. Gramophone, film, machine à écrire, synchronisation et hybridation

Fiche du document

Date

12 novembre 2020

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/0769-0959

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1960-6176

Organisation

OpenEdition

Licences

https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/ , info:eu-repo/semantics/embargoedAccess



Citer ce document

François Albera et al., « « La motoculture intellectuelle » selon Émile Vuillermoz. Gramophone, film, machine à écrire, synchronisation et hybridation », 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze, ID : 10.4000/1895.7753


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

On connaît Émile Vuillermoz en tant que pionnier de la critique de cinéma ; la place qu’on lui a reconnue à ce titre est maintenant assurée. On connaît aussi le critique musical. Mais on a quelque peu cantonné Vuillermoz aux années 1910-1920 et sa réflexion ultérieure demeure encore dans l’ombre alors même qu’elle lui offrait l’occasion d’articuler cinéma et musique à la faveur de l’instauration du cinéma sonore. En outre la réflexion de Vuillermoz prend une altitude encore nouvelle avec la s...

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en