Le cinéma ou l’art de laisser revenir les fantômes : une approche à partir de J. Derrida

Fiche du document

Auteur
Date

22 décembre 2014

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Source

Appareil

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2101-0714

Organisation

OpenEdition

Licences

https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/ , info:eu-repo/semantics/openAccess


Résumé 0

Spectres de Marx (1993) aura été l’ouvrage qui aura donné ses lettres de citoyenneté philosophique à la catégorie de spectralité en tant qu’elle est en mesure de rendre compte de complexes rapports entre violence politique, crise de la représentation et nouvelles technologies. Nous essayerons dans cet article de pointer comment cette théorie pourrait aussi porter ses fruits en considérant le cas de l’appareil cinématographique. Pour ce faire, on considérera notamment deux interventions publiques – Derrida n’a presque pas écrit sur le cinéma – où Derrida a mis au point ce que nous pourrions appeler un programme théorique pour établir une philosophie spectrale du cinéma, où les questions – essentielles dans sa pensée – de la trace, de l’archive, de l’oubli, de la répétition et de la technique seront fondamentales.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en