30 avril 2019
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/0153-9337
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2608-4228
https://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/ , info:eu-repo/semantics/openAccess
Christian Sapin et al., « Archéologie du bâti et archéométrie au Mont-Saint-Michel, nouvelles approches de Notre-Dame-sous-Terre », Archéologie médiévale, ID : 10.4000/archeomed.21054
La confrontation croisée de plusieurs disciplines relevant de l’archéométrie, mise en œuvre pour la première fois dans le cadre d’un programme CNRS, a permis une nouvelle approche – orientée par l’archéologie du bâti – de Notre-Dame-sous-Terre du Mont Saint-Michel. C’est à partir des mortiers et des charbons de bois, des briques ou terres cuites architecturales que le 14C, la thermoluminescence et l’archéomagnétisme ont précisé la chronologie d’édification des structures architecturales. Ces travaux, précédés d’une étude documentaire, d’une archéologie des élévations et de nouveaux relevés, ont mis en évidence des datations recouvrant le xe siècle et tendant à montrer que deux ensembles maçonnés se sont succédé.