An ‘Indies’ Couple: Colonial Communities and Issues Surrounding Identity in the Dutch East Indies, ca. 1890-1930s

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3 juin 2020

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G. Roger Knight, « An ‘Indies’ Couple: Colonial Communities and Issues Surrounding Identity in the Dutch East Indies, ca. 1890-1930s », Archipel, ID : 10.4000/archipel.1709


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Résumé En Fr

The life-stories of two individuals – the married couple Johanna Bezoet de Bie and Alexander MacNeill – provide the context for discussion of segments of the upper strata of the Dutch creole communities in the Dutch East Indies/Colonial Indonesia around the turn of the twentieth century. In particular, it focuses on the characteristic pervasiveness of regular family formation and sociability among people established there, in some cases, over several generations. In addition to its exploitation of recently digitalised materials relating to family history, the reconstruction attempted here also makes extensive use of the visual record, in a context in which the agency of the photograph is much to the fore. The argument turns, however, on the extent to which the couple in question sought to differentiate – even distance – themselves from the extensively referenced Indisch environment in which they were located, and in so doing underscores the complexity and fluidity of diasporic identities.

L’histoire des vies de deux individus ‒ le couple marié Johanna Bezoet de Bie et Alexander MacNeill ‒ fournissent le contexte d’une réflexion sur des segments des couches supérieures des communautés créoles néerlandaises aux Indes orientales néerlandaises (l’Indonésie coloniale) au tournant du XXe siècle. L’article souligne en particulier l’omniprésence caractéristique de la formation régulière de la famille et de la sociabilité des personnes établies aux Indes, dans certains cas sur plusieurs générations. Outre l’exploitation de matériaux récemment numérisés relatifs à l’histoire de la famille, la reconstruction tentée ici fait également largement appel aux archives visuelles, dans un contexte où l’agence de la photographie est très présente. L’argument porte cependant sur la mesure dans laquelle le couple en question a cherché à se différencier ‒ voire à se distancier ‒ de l’environnement « indien » largement référencé dans lequel il se trouvait, et souligne ainsi la complexité et la fluidité des identités diasporiques.

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