Routes, rutters, navigational techniques and the development of navigational aids in traditional Chinese seagoing: The case of the compass

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21 juin 2019

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Stephen Davies, « Routes, rutters, navigational techniques and the development of navigational aids in traditional Chinese seagoing: The case of the compass », Artefact, ID : 10.4000/artefact.2081


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Résumé En Fr

This paper will consider magnetic compasses as navigational aids in traditional Chinese seagoing in the light of the history and development of the science and technology of the magnetic compass. It will contend that in principle the magnetic pointers carried aboard traditional Chinese vessels (and equivalently equipped vessels elsewhere) before the late 17th century cannot have been reliable navigational aids and that no prudent mariner would have used them as such. The most widely accepted pre-17th century traditional seagoing compass water-bowl design will be evaluated according to the known, iron fastened, multi-cellular box girder structure of contemporary Chinese seagoing ships and to the waters in which they operated. A similar evaluation will be made of the post-17th century, dry pivot design. Both will be compared to the development of the magnetic compass, and of theories of geomagnetism and compass design between the 12th and 19th centuries in the west. Some conjectures will be ventured after the foregoing analysis as to the meaning and practical application of the “needle paths” associated traditional Chinese route maps and rutters.

Cet article considérera les aiguilles magnétiques comme des aides à la navigation dans la navigation traditionnelle chinoise à la lumière de l’histoire de la boussole magnétique et de son développement scientifique et technique. Il prétend qu’en principe les aiguilles magnétiques transportées à bord des navires chinois traditionnels (et des navires équivalents ailleurs) avant la fin du xviie siècle ne peuvent pas être des aides à la navigation fiables et qu’aucun marin avisé ne les aurait utilisées comme telles. La conception de l’aiguille magnétique flottante portée sur les bateaux chinois traditionnels avant le xviie siècle, la plus largement acceptée, sera évaluée à travers l’étude de la structure en poutres-caissons multicellulaires, attachée au fer, des navires de mer contemporains chinois, en prenant en compte les eaux dans lesquelles ils opèrent. Une évaluation similaire sera faite de la conception du pivot sec après le xviie siècle. Les deux seront comparées au développement de la boussole magnétique, et des théories du géomagnétisme et de la conception de la boussole entre les xiie et xixe siècles à l’Ouest. Quelques conjectures seront faites suite à cette analyse quant à la signification et à l’application pratique des « chemins d’aiguille » associés aux cartes de route et aux routiers traditionnels chinois.

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