La ville dans la littérature mexicaine, effritements, pouvoirs et mensonges

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5 janvier 2022

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Philippe Ollé-Laprune, « La ville dans la littérature mexicaine, effritements, pouvoirs et mensonges », Artelogie, ID : 10.4000/artelogie.8032


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Dans toute littérature, la présence de la ville s’accentue avec le temps. La société urbaine devient majoritaire au XXème siècle au Mexique. Mais une spécificité accompagne ce développement ; alors que partout ailleurs, la ville est le symbole de la fermeté et de la solidité, Mexico rentre en littérature en présentant un caractère d’effritement permanent, de lieu catastrophique par excellence, qui ne protège en rien ses habitants. Lieu d’où sont absents les repères personnels (un comble pour un espace urbain), elle invite plus au chaos et au mensonge qu’à la transparence et à la raison. Cela est remarquable chez bon nombre d’écrivains contemporains, en particulier José Emilio Pacheco et Juan Villoro.

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