27 février 2019
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María Jesús Lacarra, « La ficción en la imprenta hasta 1525 », Atalaya, ID : 10.4000/atalaya.3185
Cet article trace un panorama de la prose de fiction imprimée, depuis l’étape incunable jusqu’à 1525. En certains cas, on imprime des textes d'auteurs qui sont contemporains à la date de leur édition, comme la Cárcel de amor ou la Celestina, mais dans d’autres, ce sont des textes, écrits précédemment ou traduits, qu’on renouvelle dans les ateliers pour satisfaire le goût des nouveaux lecteurs. Le regroupement générique montre comment les presses sont occupées par la fiction chevaleresque, soit avec les livres de chevalerie émergents, soit avec la narration chevaleresque brève. Toutefois, si le nombre d'éditions est pris en considération, la Celestina se remarque dans la période analysée et, dans une moindre mesure, la Cárcel de amor. Les imprimeurs et les lecteurs approcheraient ces genres de succès en réutilisant des gravures, en imprimant conjointement des œuvres ou en reliant en un seul volume les exemplaires conservés.