10 septembre 2018
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Charles Grivel, « L’Inassouvissement du drame », Belphégor, ID : 10.4000/belphegor.1222
Il faut partir d’une idée de l’insatiabilité du drame. De sa cause infinie. De l’infinité de sa notion. De l’illimitation du spectacle qu’il est appelé à offrir. Du désir rémanent qui s’en saisit. De la relance. Du repentir. Du revenir. Il faut parler du retour en écriture. Gautier disait qu’un canevas unique suffisait à l’imaginaire par la variation irrésistiblement recommencée qu’il animait. J’aime qu’on répète, disait-il, je déteste qu’on y revienne, je désire l’objet même de cette détesta...